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En novembre 2014, je vivais l'expérience live d'un show WWE à Bercy en compagnie de mon fils et de quelques aficionados des Cahiers du catch. J'avais, à l'époque, écrit un compte-rendu de la soirée pour les CDC que je vous livre aujourd'hui sur le blog de la cave. Le Kave pour le confort de lecture de la suite, c'est Krix où le Krield, où la Krix family, c'est au choix, et les photos sont toutes issues du show parisien, ou presque...Bienvenue dans mon étrange jargon catchesque, comprenne qui pourra, qui voudra!
Vivez de l'intérieur l'aventure d'un show catch à l'américaine chez les Gaulois de France.
Live-Event, Paris-Bercy: Faces Fest !
Tout
baigne,
Paris
est dans la place
Tout
baigne,
La
WWE est dans la place
Tout
baigne,
Le
Krield est dans la place,
Les
CDC sont là aussi !
Tout
baigne, même pour les gens qui se prennent des beignes!
Ménélik…
ou pas.
La
WWE était de passage à Bercy. Pour nous rencontrer.
Toi pas paniquer. Mais nous perdus.
Récit du house show de la WWE à Bercy du 12 novembre 2014
Krix… Roméo… India… Echo… Lima… Delta… Krield Krield KRIELD!!!
Mercredi
12 novembre 2014
-
16h: Ayant quitté exceptionnellement mon activité esclavagisante rémunérée un
peu plus tôt, me voilà de retour dans mon micro-village du Sud-Essonne pour
récupérer ma progéniture à la sortie de son entraînement de football. L’enfant
sauvage n’est pas au courant de ce qui se trame, ne sait pas qu’une surprise de
taille l’attend ce soir et est très intrigué par l’heure inhabituelle à laquelle
je viens le chercher. Une fois monté dans la Krixmobile, il constate que nous
ne nous dirigeons pas vers son placard décoré de force aux couleurs de Ziggy,
mais bien vers l’autoroute…
Photo
exclusive de la voiture familiale. Oui, le K de K2000, c’était pour Krield.
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16h10 : « Mais Paps, où on va comme ça ? » Je décide
de mettre fin à son supplice et je lâche le morceau à Junior : « Mon
fils, nous nous rendons à Paris assister à un show de la WWE. » Le gamin
reste une seconde sans voix puis explose de joie : « T’es
sérieux ? Avec des combats et tout et tout ? Y aura Big E ? Le
Big Show ? Et et et…John Cena ? » Réponse laconique du
père : « Oui. » Il faut savoir que le Père comme le fils n’ont
jamais assisté à un show de la Big league, et que c’est donc une grande
première pour le Krield, même si à son âge, j’avais assisté à beaucoup de galas
de catch… français à l’Elysée Montmartre dans les seventies, mais ceci est une
autre histoire qu’un jour peut-être Axl se décidera à publier… [note d’Axl :
je suis une merde, je me promets de le faire depuis des mois, ça sera fait la
semaine prochaine, promis, rhook pfiou.]
-
17h30 : Le voyage vers la capitale se déroule sans embûches et voici la
Krix family arrivant devant un POPB déjà bien pourvu en fans de catch attendant
patiemment l’ouverture des portes à 18h30. Nous décidons d’aller nous balader
un peu dans le parc, et je commence à envoyer quelques messages pour vérifier
que la team Cahiers Du Catch (CDC) arrive dans les environs. Première surprise, j’ai mal recopié le
numéro de Calik et j’harcèle par texto pendant 20 minutes un pauvre quidam ne
comprenant rien à mon charabia catchesque. Réalisant que j’étais dans l’erreur,
je me rabats sur le numéro du Sieur Death qui me répond immédiatement et
rendez-vous est pris au Bercy Café pour partager quelques agapes avant de
s’attaquer aux choses sérieuses.
-
18h : Soudaine inquiétude de Junior : « Et si Calik
était malade et qu’il venait pas ? Comment on ferait pour les
places ? » Papa, rassurant : « T’inquiète pas, il viendra
et si ce n’était pas le cas, je mettrai un diving elbow drop aux vigiles et on
rentrera en force dans Bercy, Oh Yeeaaah »…
La
Krield Family. Une certaine vision du monde.
-
18h15 : Nous rejoignons en terrasse la team CDC, pleine de charisme et de
prestance, et une joyeuse conversation commence en présence de membres éminents
du meilleur site de catch du monde. Il y a là des noms internationalement
connus comme Major Tom, Calikrilliméro, Jyskal, Bastoune, Yerem, BB-Lu (The
Lady in red), Henri Death... cette soirée s’annonce plaisante et heureuse,
placée tout simplement sous le signe du plaisir et de la passion pour la chose
catchesque. Que cela fait du bien d’échanger sur le catch, moi qui me sens
souvent isolé avec cette passion si peu appréciée dans notre pays (quoique…) et
j’en profite pour assurer la promotion de Lucha Underground auprès d’Henri
Death. De son côté, Junior se lie d’amitié instantanément avec Jyskal, Cenation
oblige…
-
19h : Après avoir avalé nos sandwichs et 15 litres de bière pour Bastoune,
nous nous dirigeons enfin dans l’enceinte parisienne, prêts à kiffer notre life
devant nos super-héros en slip favoris. Nous passons sans problème la sécurité
avec l’appareil photo et nous dirigeons droit vers la boutique de voleurs la
WWE afin de lâcher quelques dollars à VKM. Et là, c’est le drame… Je me rends
compte avec horreur que non seulement les prix sont prohibitifs, mais qu’en
plus aucun t-shirt de Ziggy n’est disponible : seuls les catcheurs
présents ce soir ont droit à du merchandising (exception faite de Bad news
Barrett). Krix Junior et Jyskal sont aux anges, les apparats de Cena sont bien
en évidence. C’est bien lui qui fait tourner la machine à cash de la WWE... Ils
peuvent donc assouvir leur amour pour le Marine en achetant T-shirt et
casquette et ainsi pouvoir supporter fièrement John durant le show. J’achète
également un programme à 15 euros plein de photos, mais datant de… 2013.
Pendant ce temps, Bastoune reprend une bière…
-
19h30 : Nous entrons dans l’arène. Nous sommes plutôt bien placés dans la
partie basse des gradins avec une bonne vue sur le ring, la rampe d’accès des
catcheurs au fond face à nous. Un rapide coup d’œil permet de se rendre compte
que la Cenation sera en force ce soir : une multitude de t-shirts et
casquettes rouge et jaune a envahie Bercy et la foule commence à se chauffer la
voix doucement. L’excitation monte, Junior et Jyskal sont au taquet, Henri de
la Death tweete sur le grand écran sa liste de courses car il ne veut pas
oublier ses biscottes, Calik en vieux routard des house shows m’explique un peu
le déroulement des festivités, we are ready to ruuuuuuumble !
Un
peu loin pour tenter la Slinghsot Plancha directement sur le ring, quand même.
-
20h pétantes : La WWE commence à l’heure, sachez-le mes amis, et elle
entre tout de suite dans le vif du sujet avec un speech de Triple H sur les
écrans au-dessus du ring. Celui-ci déroule sa promo sous une bronca
terrible : l’Autorité n’aura pas la cote ce soir. L’arrivée de la belle
Lilian Garcia met en joie l’assistance. Elle annonce la tenue du premier combat
qui donnera la température du reste de la soirée : ce soir il ne fera pas
bon être Heel à Bercy , le public est ultra-kayfabe et va supporter chaque
face à fond tout du long de la soirée. Junior, lui, vient de rentrer en transe,
il ne décrochera plus de la barrière de sécurité de tout le show…
En même temps, papa... tu m’as menotté.
J’arrête ici ma chronologie horaire pour dérouler l’analyse des différents combats, nous nous retrouverons à 23h pour le final… L’opener nous offre un superbe Sheamus vs Harper accompagné de Rowan (sans doute pour ne pas perturber les fans). Le combat est bon, le grand rouquin blanc est littéralement porté par le public à mon grand désarroi car moi j’aime Harper, je tente quelques « Let’s go Harper », mais celui-ci est tellement hué que Junior me glisse : « Paps arrête avec Luke Harper, personne ne l’aime. » Soit, mais je reviendrai, oui je reviendrai… En attendant, les deux catcheurs nous offrent leurs spots favoris avec une bonne alchimie et je confirme tout le bien que je pense du moveset de Luke. Rowan se fait expulser par l’arbitre laissant Harper se débrouiller face aux coups de boutoir de l’Irlandais, résiste malgré tout, mais au final Sheamus remporte la mise sous une pop intense, ce show part fort…
Le
deuxième combat oppose Curtis Axel à Jack Swagger accompagné de Zeb Colter, ce
qui va engendrer une sorte de flou artistique car supporter Swagger apparaît
comme un peu compliqué au public parisien, mais c’est là qu’on peut reconnaître
au fils Perfect une qualité essentielle : il a naturellement une bonne tête
de Heel, ce qui aide Swagger dans son rôle de Face à emporter l’adhésion
de la foule. Le combat est pas mal sans plus : les deux sont des bons
workers, mais Curtis est souvent obligé de descendre du ring pour choper de la
heat et c’est sans aucun doute le match qui aura le moins de succès ce
soir. Swagger gagne avec son Patriot Lock et son manager nous gratifie ensuite
d’une petite promo avec quelques mots en français disant que si nous ne sommes
pas des Américains, nous sommes de « vrais Français » ainsi qu’une
surprenante phrase où il demande au propriétaire d’une bagnole de bien vouloir
la déplacer. Était-ce une boutade ou un truc préparé ? Je ne suis pas
certain d’avoir pigé, je vous laisse me donner l’explication dans les multiples
commentaires que vous rédigerez sur ce papier… Hum…
Oncle Zeb, t’as encore fait la tournée des bistrots
avant le show, hein?
Le
troisième affrontement sera un Six-man tag team match (qui a failli être un
dance-off, ouf, on l’a échappé belle) entre Los Matadores&Tororigolo et
Slater Gator&Hornswoggle, pas les tag teams qui font le plus rêver mais un
comedy match solide et… drôle. Si si si, je vous jure, Slater est bon
techniquement, et Titus est très impressionnant physiquement IRL (même s’il est
toujours très mauvais in ring à mon goût), Diego et Fernando nous offrent
quelques moments très Lucha Libre et on sent que petit Toro s’éclate dans ce
match sans prétention, bref juste du fun. L’arbitre est impliqué dans des
spots entre les deux nains où les deux personnes de petite taille se jettent
l’une après l’autre dans les bras du referee sur des tentatives de tombé, tout
cela dans une ambiance bon enfant, c’est le cas de le dire. Victoire des
Matadores, décidément, les Faces semblent invincibles ce soir…
Jeu
de nains, jeu de vilains.
Ah,
on arrive au seul match de championnat de la soirée, en l’occurrence pour le
titre US entre Rusev et le Big Show, et là c’est le vrai premier pétage de
cable de Junior : « BIG SHOW BIG SHOW BIG SHOW ! »
The Kid is on fire ! Lana nous fait sa promo, attise la heat et le gros
spectacle a droit à une pop mémorable. Le combat est assez agréable à suivre,
le Big Show nous régalant d’un dropkick un peu botché de la deuxième corde où
j’ai cru qu’il allait se démettre une épaule ! Rusev conserve son titre
par DQ après avoir cogné le Big S avec une chaise (quelqu’un avait imaginé
autre chose ?), quitte le ring plutôt discrètement car nous avons droit à
une interférence à la fin avec Mark Henry venu attaquer le Big Show dans un
élan vengeur, ce qui donne lieu à un affrontement rapide entre les deux
pachydermes et la mise à mal du WSM par un KO punch, à la grande joie de
Junior. Je dois dire que voir de près ces deux-là, c’est quelque chose :
leurs proportions sont vraiment incroyables et quand le World’s Largest Athlete
a quitté le ring sous les vivats d’une foule conquise, j’ai réalisé à quel
point il était aimé par les fans français... et par mon fils.
Voici
venu le temps de l’entracte, Junior part avec Jyskal se faire offrir des
confiseries et Bastoune se reprend une binouze… Yerem nous rejoint avec sa
femme, et là c’est le choc pour moi. En effet, la compagne de l’ami rédacteur
porte un t-shirt magnifiquement discret (hum) du Show Off ! Le cœur empli
de jalousie, je décide de détester le couple Yerem jusqu’à la fin de mes
jours... mais non ils sont trop sympas, après tout aujourd’hui c’est une face
fest, soyons gentils les amis ! Les lumières s’éteignent, un spectateur
offrant gentiment ses services pour prendre en photo la Team CDC ne déclenche
pas assez vite l’appareil et nous avons droit à une magnifique photo de nous…
dans le noir.
Cheese!
Pas
grave, le cinquième combat va venir, annoncé par Agius et Chérreau qui ont droit
à un accueil superbe du public. Les deux savent y faire pour chauffer la salle,
surtout qu’ils sont là pour présenter les Divas dans un tag team match entre
AJ&Brie et Paige&Nikki. Brie Bella, c’est l’art de récupérer toute la
pop de son mari en embarquant la foule dans un yessin’time intense au grand
bonheur d’un public n’attendant que cela — je n’ose imaginer ce qui se serait
passé si D-Bry avait été présent… Brie surfe sur la vague du Yes yes yes sans
complexe et à nouveau, les Divas faces gagnent sur Roll-up des familles dans un
match que j’ai bien aimé et qui fut plus long que ce que l’on voit à l’habitude
dans les combats féminins WWE… Paige semble s’améliorer de semaine en semaine
et même Nikki a réussi quelques moves de qualité. Junior, lui, est épaté par le
gabarit d’AJ : « Elle est vraiment minuscule AJ ! »
Attention : la présence d’AJ pourrait vous
induire en erreur, mais le prochain match n’est PAS un combat de nains.
Avant-dernier combat opposant The Miz (qui nous gratifia d’un « je déteste les Français et le fromage qui pue) et Mizdow au duo Big E. et Kofi Kingston, accompagné par le nouveau révérend du gospel Xavier Woods. Le pasteur nous fait un prêche sur le WWE Network gratuit ce mois-ci mais qui ne coûte en temps normal que nine ninety nine, vous connaissez le refrain, mais cette promo fera un gros flop : soit les gens n’ont rien compris, soit ils s’en foutent, ou alors les deux mon capitaine. Ma foi, ce fut un très bon combat. Mizdow est hilarant, le Miz semble sérieusement agacé par la pop de son partner car il laisse souvent volontairement Damien en dehors de l’action, quand à Kofi et Big E, quelle pop 4 étoiles ! Junior, je crois l’avoir perdu à ce moment-là, vous connaissez son amour immense pour Langston et cela s’est confirmé tout au long du combat, ses encouragements à la team New Day furent sonores, limite hystériques et quand Big E effectua un retour en force dans le match, les « BIG E BIG E BIG E » furent proches de lui provoquer un éclatement du larynx ! Niveau in-ring, ce fut très bon, Kofi effectuant un forearm smash d’une superbe amplitude, un Boom drop énorme avec l’appui du public et un spot où Big E servit de catapulte pour Kofi atterrissant sur les heels, tout cela se terminant sur un finish en tag team bien aérien. Donc, New Day, Junior valide et est totalement emballé par cette association, à voir ce que cela nous réservera dans le futur…
- T’es venu avec ton double, Miz... ben moi je suis
venu avec deux doubles!
- Pas
borderline du tout ton gimmick mec...
Finally,
la salle rentre en ébullition. Le Main-Event entre l’archi-traître chacal
sodomite et Superman Cena est annoncé. La stipulation est un street-fight
match. Rollins entre sous une heat gargantuesque et Cena sous une pop indescriptible
car même si quelques Cena sucks se font entendre, ils sont largement
minoritaires. Quant à Junior et Jyskal, ils n’ont plus qu’un mot à la
bouche : « CENA CENA CENA ! ». Le gamin tire sur son
t-shirt jaune horrible comme Zidane lors de la finale 98 et accompagne chaque
move du marin comme s’il était lui-même sur le ring. Alors bien sûr John nous a
fait du Cena, five moves of doom et tout le bazar, mais il sait y faire avec la
foule, surtout quand elle lui est acquise, et le combat, même s’il est assez
convenu, est de bonne qualité. Petit moment drôle aussi, Major pris par
l’action se lève pour suivre le combat et se fait pourrir par les deux travées
derrière nous, car il gêne la vue, oui Major peut être grand ! Mon seul
regret fut que malgré la stipulation, ils n’ont pas été se balader dans les
travées, cela aurait ajouté à l’ambiance à mon humble avis, surtout que la
kryptonite de John était de sortie avec deux tables et que Rollins était chaud
comme la braise, contrant le AA à deux ou trois reprises. Le finish sera (quand
même) un AA à travers une table, avec le pin sur les débris et une explosion de
joie de la foule. Cena prendra le micro après le départ de l’archi-traître,
nous offrira quelques mots en français (je écoute toi) et brandira le drapeau
tricolore sous une ovation monstre. Ce soir, c’était la fête aux faces :
que des victoires pour les gentils devant un public qui ne demandait que cela
visiblement.
De
plus en plus élaboré, le You can’t see me.
-
23h : Damn, nous quittons à regret la Team CDC assez vite, car le membre
le plus jeune du Krield a école le lendemain et nous ne pouvons rester pour un
verre de l’amitié, ce sera pour une autre fois. Une fois dans la voiture, le
gamin tient encore cinq minutes avant de s’endormir épuisé, mais avant de
tomber dans les bras de Morphée, il tient à me donner quelques
impressions :
«
Papa, pourquoi Rusev, il est champion des États-Unis alors qu’il est
russe ? Et t’as vu Paps, Rollins il a fait le you can't see me pour
se moquer de John et il l’a payé cher, on rigole pas avec ça… » ou encore « ce serait top que
Kofi et Big E ils gagnent le titre par équipes, t’as vu Big E il a
dit qu’ils adoraient les Français, et il l’a dit en français, je l’aime trop
lui, il est grave top !» suivi de « Jyskal il est trop sympa,
il fait partie de la Cenation alors c’est mon pote maintenant ! »
et de « dommage qu’on ait pas eu un match pour le titre de
champion du monde, ça m’aurait plu de voir Brrrrock ! » avant de
conclure : « Bon, c’est quand qu’on retourne voir la WWE ? »
Papa, c’était vraiment super, merci. Par contre si tu
pouvais arrêter de faire tourner le themesong de Ziggler en boucle sur
l’autoradio, ça serait pas plus mal.
Bref,
vous l’aurez compris, ce fut une soirée placée sous le signe du plaisir. Je
voulais vous faire un compte rendu positif et enthousiaste et peu de choses
auront déplu au Krield pour sa première en House show, c’est la beauté des
premières fois. J’ai juste regretté l’absence d’un écran géant pour mieux
suivre les combats ainsi que le fait qu’il n’y a pas eu de feux d’artifices,
j’aime quand ça pète ! Et bien sûr, Ziggy m’a manqué très fort, mais bon,
on ne peut pas tout avoir à un premier show et c’était déjà magnifique d’être
là. Je ne retiendrai donc que du positif de cette soirée, et Junior et moi-même
tenons à saluer chaleureusement les membres de la Team CDC pour cette soirée
d’anthologie. Merci les amis, c’est quand vous voulez qu’on recommence ;)
Ca
c’est du roster!
Épilogue - samedi 15 novembre 2014
Quelque
part sur un terrain de football de l’Essonne, championnat régional U-10, le
défenseur axial numéro 4 du FC ………………., un certain Krix Junior, récupère un
ballon à l’entrée de la surface de réparation adverse, fait un crochet du
gauche, se fait faucher irrégulièrement de manière virile, l’arbitre laisse
l’avantage car Junior se relève dans la foulée et place une frappe intérieur
pied droit dans la lucarne, GOAL !!! Junior se tourne et regarde droit
dans les yeux le joueur l’ayant taclé méchamment avant le but, met sa main
devant son visage et dit à son adversaire médusé en agitant la main de la
gauche vers la droite...
You can’t see me.
A bientôt dans un prochain Catch à Kaaaaaaaaave!